Chapitre précédent : 13. Les conséquences, de mauvais traitements des enfants par la médecine scolaire. les coûts pour la société et la victime
14. Le jeune : droit au respect, à l'intégrité physique et droit de grandir
à son rythme
Lors de la pratique du naturisme en famille dans des centres de vacances Nous
constatons que les garçons entre 3 et 12/13 ans lorsqu'ils sont nus à la piscine sur la
plage, en groupe... tout les garçons sans exceptions ont comme réflexe : régulièrement
s'étirer le prépuce vers l'extérieur du corps, ce qui explique des prépuces longs
étroits et
en trompette.
Il s'agit d'un geste inné, naturel, non appris, les parents constatent, les grands
parents
constatent, personne ne leur dit rien, ne leur fait pas de commentaires, aucune
interventions. (Quoique les personne les plus étonnées sont les grands-mères).
Geste inné
Ce genre de geste n'existe pas chez les filles.
Ce faisant, l'étirement du gland et du prépuce n'ayant pas les mêmes caractéristiques
d'élongations, ils décalent la peau intérieure du prépuce et la peau extérieure du
gland,
ce sont des micro ruptures de l'épithélium (appelée parfois adhérences), sans la
moindre
douleur.
Ce n'est pas tout, le prépuce devient plus long, ce qui donne à ce fourreau prépucial
une
mobilité de plus grande amplitude, qui favorisera plus tard les masturbations, et
facilitera
le confort des pénétrations lors d'actes sexuels.
On parle aussi d'érections douloureuses avec un phimosis ??????
Avec un phimosis très sévère, je n'ai jamais manqué de place ni d'érection
douloureuse.
Si les jeunes ont TOUS comme réflexe de s'étirer le prépuce, on peut constater qu'il
reste
énormément de place disponible pour des érections dans ces prépuces.
Énormément de jeunes se croient anormaux du fait d'informations incomplètes des cours
d'éducation sexuelles : certains jeunes croient que le pénis doit se décalotter
automatiquement en érection !
Cette croyance provient principalement de la visualisation de pornographie américaines
ou les acteurs sont circoncis
Le rôle du prépuce est de couvrir le gland, et de se libérer, de se dérouler à
l'intérieur
du sexe féminin.
Ce phénomène d'étirement du prépuce vers l'extérieur du corps n'est plus visible
au-delà
de 13 ans, cela veut dire que à partir de 12/13 ans le fourreau prépucial est devenu
mobile, et, avec la montée de taux d'hormones, le jeune va se prodiguer naturellement
des caresses dans l'autre sens (mouvement de relation sexuelle de plus en plus
vigoureux), qui finira par dilater l'anneau prépucial et décalotter.
La vitesse à laquelle il va résorber son phimosis dépend de la concentration d'hormones
mâles dans le sang et de ses masturbations, cela peut être à 16 ans comme à 18ans...
Pourquoi, faut il que les vieux pédiatres décalottent dans les hurlements des enfants
de 3, 6 ans ??? au lieu de laisser la nature et les hormones faire leur travail ?
Les garçons n'ont-ils pas droit à grandir à leur rythme, pourquoi aussi l'acharnement
des
médecins scolaires pour décalotter à tout prix dans la douleur, la tristesse, et
l'envie
de vengeance du jeune ?
Ces médecins scolaires parlent pudiquement "d'un geste technique mal
interprété ".
Cela ne leur pose aucuns problèmes de conscience de démolir et détruire
psychologiquement un enfant ou un jeune.
En 2002, (archives de Nantes) une étude française mentionne que 48% des médecins
Français libèrent des adhérences prépuciales en effectuant des décalottages forcés.
C'est très mal vécu par l'enfant, de plus certains vont développer un " phimosis
secondaire du à la cicatrisation "de ces manœuvres en force " c'est un tissus
cicatriciel
dû a des manipulations forcées.
98% des nouveaux nés ont naturellement des adhérences qui empêchent le déclivage
entre le gland et l'intérieur de la peau du prépuce.
Dans le monde animal, chez les mammifères, où il y a un sexe vascularisé muni d'un
prépuce, avez-vous vu les géniteurs pratiquer des décalottages forcés sur les jeunes ?
Ou des vétérinaires qui pratiquent des circoncisions ?
De tous les mammifères, l'homme est le seul qui a cette obsession de persécution du
prépuce et qui ne laisse pas faire la nature.