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28. Coaching ratés :


Il y en a eu très peu, c'est décevant surtout après un déploiement d'informations, de
questions de réponses, de sources d'informations.
Au bout de 30 mois, je me suis aperçu, qu'ils avaient un profil commun : c'est une majorité
importante d'homosexuels.

Leur démarche est la suivante : ils ont un phimosis fort ou léger et demandent de l'aide,
mais en fait, consciemment ils souhaitent que cela ne fonctionne pas.
Comme cela il n'y a pas de regrets à une circoncision.
Leur choix de se faire opérer était déjà pris avant leur demande d'information pour
résorber un phimosis parfois très léger.
Ils ont un sens de l'esthétique et souhaitent épater leur partenaire par la beauté de leur
sexe.
Ce standard de beauté se retrouve à nouveau principalement dans le porno américain.
(ou même les sexes sont maquillés)
Je croyais être le seul confronté à ce type de démarche, et je pensais à une erreur, mais
j'ai pu trouver sur des sites d'urologues, des chirurgiens confrontés à une demande
croissante des homosexuels pour des circoncisions pour raisons esthétiques.

Autres coaching ratés (plus rares) environ 6 cas sur plus de 3000 interventions.


Cela n'a pas fonctionné parce que :

Il n'étaient pas suffisamment motivés.
Trop d'espace temps entre les exercices de kinésithérapie.
Abandon des exercices lors de la période d'examen scolaire ou de vacances.
                (quand c'est le cas le prépuce se resserre à nouveau)
Peur d'abîmer son pénis, peur des exercices.
Croire que cela fonctionne pour tous le monde sauf pour sois même.
                (pour cela il faut un coach ou un kiné pour rassurer)
Vouloir que cela s'arrange tout seul par un professionnel (chirurgien).
Pas envie de consacrer du temps aux exercices
                (ignorance des conséquences de la circoncision sur la sexualité).
Découragés par des urologues qui ne veulent pas que leur patient arrange son phimosis
lui même sans intervention chirurgicale.
Pas comprendre comment utiliser les crèmes a base de dermocorticoides.
                (info insuffisante donnée par le médecin)

Oublié les gestes d'entretien journaliers du prépuce (décalotter chaque fois que l'on urine)
Oublié que faire en cas de resserrement du prépuce (dormir plusieurs nuits décalotté)
Se retrouver sans relations sexuelles, sans masturbations, sans gestes d'entretien, sans
mobilisation journalière du prépuce.

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