Chapitre précédent : 15. La visite médicale scolaire et la loi




16. Sortes de médecins scolaires


Le gros problème qui détruit psychologiquement, les garçons sont les décalottages
forcés effectués sous la contrainte de l'autorité et caché sous le couvert du secret
médical.

Après plusieurs contacts avec des jeunes dans différentes régions, il en sort que en 2013,
il y a 4 sortes de médecins scolaires :

Certains médecins scolaires évolués ne touchent pas le pénis du jeune, il leur pose des
questions, et instaure un dialogue constructif et de confiance.
Exemple : pas de présence anormale dans le scrotum ? Tu es inquiet pour certaines
choses ? Tu souhaite que je vérifie ? regarder si c'est normal ?...
Le jeune ici a été enchanté de son entrevue avec un médecin scolaire de la région de
XXXXXX (Belgique) 2013.

Certains proposent au jeune de manipuler le pénis eux-mêmes en leur précisant qu'ils ne
sont pas obligés.
Attention que s'ils dénoncent un phimosis à une famille monoparentale (mère), ou père
circoncis, en cas de consultation d'un urologue (pas doué), il y a risque de mutilation.


Certains médecins essayent eux-mêmes de décalotter sans demander l'autorisation du
jeune
et demandent de prévenir si cela fait mal.
A nouveau : risques de dérives et de mal vécus : Ce sont déjà ici des gestes inadaptés,
et à risques.
Le jeune va se demander : pourquoi j'ai accepté, pourquoi je n'ai pas osé dire que l'on me
faisait très mal... il devait le voir que j'étais crispé, j'ai encore mal maintenant !


Malheureusement, il existe encore des médecins qui torturent tels que décrit en
septembre 2013 pour les 12/14/16 ans, et qui font des dégâts psychologiques
catastrophiques sur des centaines d'écoliers et d'étudiants.
Là, on en est au stade que certains jeunes sont détruits et pensent à mourir.
S'ils ne disposent de personne pour résorber leur état de traumatisme, on est au bord
de l'accident.

Si en plus on leur dit qu'ils ne sont pas normaux : de honte, il ne se plaindront pas, de
plus, Ils n'oseront parfois plus aborder une partenaire, et leur vie peut prendre une tout
autre orientation aux conséquences désastreuses.

Chez certains médecins scolaires et certains pédiatres, lors de décalottages forcés, il y a
une banalisation, une indifférence, une accoutumance à la souffrance et la douleur qu'il
infligent aux enfants des autres.

Des mères m'ont expliquée, choquées que leur enfant se tordait de douleur, mais qu'elle
n'as plus jamais été chez la pédiatre.
Une autre au Portugal, quand l'enfant a vu qu'ils arrivaient au cabinet de la pédiatre, avec
le souvenir des souffrances sexuelles occasionnées, il a lâché la main de sa mère pour
s'enfuir à travers la foule.
Même si cela se passe très jeunes, vous seriez étonnés de l'impact que cela a eu sur ces
jeunes, qui racontent avec précision les détails de leur traumatisme.


A qui se plaindre en cas de mal vécu ?
Jamais se plaindre directement au centres médicaux, toujours le faire via le procureur de
la république ou une instance judiciaire, protection de la jeunesse association de lutte
contre la pédocriminalité...
Pourquoi ?
Tout d'abord, le parquet va enregistrer cette plainte avant de la faire suivre dans nos pays
à l'ordre des médecins, mais si le parquet a d'autre faits similaires pour le même médecin,
votre plainte sera peut être celle qui mettra en route un mécanisme qui mettra fin aux
activités du médecin inadapté et cela terminera peut être aussi en correctionnel ou
terminera par une condamnation et des réparations.

Que le médecin scolaire soit un inadapté, une personne vivant dans un désert relationnel,
affectif et sexuel, un introverti, un asocial, une personne dépourvue d'empathie pour les
enfants, ou qui a des gestes qui traumatisent, celui-ci salit la profession de médecin,
donnera une perte de confiance grave dans le monde de la médecine, et celui-ci n'a pas
sa place dans la médecine scolaire.

Il n'y a aucun contrôle de l'état sur ces médecins ni de contrôle de déontologie, ni de
formation psychologique pour l'impact qu'ils vont avoir avec des manipulations sexuelles
faites sans consentement sur des enfants ou des jeunes.

Des médecins tortionnaires passent au travers du filet de la formation de médecine
publique.
Vous avez peut être aussi rencontré des médecins bizarres dans les sociétés
d'assurances, le contrôle médical du travail... des personnes totalement incapables
d'avoir et de garder une clientèle pour des raisons relationnelles.
J'ai connu personnellement des médecins comme ceux décrits qui ont été radiés et
interdit d'exercer par l'ordre des médecins.
Vos enfants vont peut être confrontés, nus, seuls face à ce genre de personne sans
aucune défense. De honte, il ne vous diront rien !
Certains jeunes, pour éviter que leur père ne " frappe " le médecin avec les
conséquences, vont pour protéger la famille ne rien dire et porter les séquelles et ses
effets pour toute leur vie.

On ne peut pas se fier à l'avis d'un directeur d'école, peut être que le médecin scolaire
correct habituel pour raison de maladie ou d'indisponibilité sera remplacé par un autre
peut être dangereusement inadapté.