Chapitre précédent : 16. Sortes de médecins scolaires 17. Inadaptation des médecins scolairesD'après un psychiatre de ma région qui a vu plusieurs victimes traumatisées par la visite médicale scolaire, ce serait du à une formation inadaptée du "brevet de médecine publique ". (sic) (Syndrome des visites vécues comme des viols et tortures) Ces médecins n'ont aucune conscience de l'impact désastreux qu'ils vont avoir sur les jeunes, et leur formation : " cours de formation, médecine scolaire " ne gère pas les traumatismes qu'ils vont induire dans la manipulation sexuelle faite d'autorité sur leur victime. Si un médecin scolaire écrit phimosis sans donner des explications au jeune pour la résorber naturellement ou encore une brochure explicative avec les différentes méthodes et techniques douces, le mieux alors est de ne rien écrire et laisser faire ce que la nature a mis comme dispositif en place : Avec l'aide de la montée du taux d'hormones sexuels dans le sang, laisser le jeune grandir à son rythme plutôt que de pousser avec une dénonciation vers une mutilation sexuelle définitive. Un pénis avec un phimosis demande simplement à "une mise en service du sexe par masturbation, et relations sexuelle ". Sans en comprendre les mécanismes, un médecin qui écrit "phimosis " sans explications est en réalité un pompier criminel incendiaire qui met le feu à une région. Région qui n'a pas toujours l'infrastructure pour éteindre l'incendie créé. (Absence de conseils d'un père ou d'une personne qui a le souci du bien être du jeune). C'est une forme de prise d'otage de l'intégrité physique des garçons, qui risque d'être en contact avec des personnes qui par ignorance (médecin circoncis, femme), goût du gain, poussent à l'acte chirurgical. Avec des conséquences graves pour son futur sexuel. Parfois, ces mutilations vont ronger et détruire la personne. Les adhérences prépuciales et phimosis qui rendent difficiles les décalottages d'après les archives médicales de Nantes mentionnent : 96% d'adhérences prépuciales à la naissance, 50% à 11 ans : 13% à 16 ans (Belgique) 10% à 18 et 20 ans (Vendée/Bretagne). Pourquoi prendre le risque d'opérer, pourquoi ne pas laisser grandir à son rythme ? Malheureusement certains médecins scolaires ont une totale immaturité, une inconscience de ce qu'ils mettent en place. Je ne parle pas ici des faits de tortures sexuelles dont certains jeunes font l'objet, avec des envies de représailles violentes sur leur agresseur médecin scolaire. Une doctoresse scolaire (Belgique) dans un forum de 2008 expliquait qu'elle avait un jour détecté un début de cancer dans le scrotum d'un jeune, et que cela justifiait tous les "mal vécus psychologiques " qu'elle avait occasionné. Pendant que l'on répare d'un côté, on détruit de l'autre ! D'où viennent ces différences entre un médecin scolaire, et un médecin de famille ? Le médecin de famille a plus d'empathie, il prends son temps à soigner un enfant qui, parfois adulte restera son client. Il y consacre du temps et développe un climat de confiance. C'est un investissement de relation de confiance à long terme. Son but est de soigner, préserver l'intégrité physique et pas d'amputer. Le médecin scolaire ne sait pas évoluer, il ne connaît pas la finalité de ses recommandations. Son évolution et ses connaissances sont figées à des connaissances livresques datant de ses études. Les généralistes voient souvent avec méfiance et réserves les conclusions de rapports médicaux de la médecine scolaire, ils considèrent que leur méconnaissance de la médecine curative altère le jugement du médecin scolaire. En tant que généralistes de la médecine curative, ils évoluent tout les jours, et leur expérience professionnelle est en constante et continuelle progression. Le généraliste s'entoure de confrères spécialisés en qui il a confiance. Chapitre suivant : 18. Statut socioéconomique des agresseurs pédocriminels |