Chapitre précédent : 9. Le prépuce. 10. TémoignagesTémoignage, (texte intégral Belgique) : La visite médicale scolaire obligatoire est et a été pour moi dangereuse, elle m'a donné un syndrome de stress post traumatique et une dépression, des années après les événements, quand mon esprit n'est pas occupé, je m'enfonce dans une brume de colère noire, si je conduis, je me rend compte que mes réflexes sont plus lents. Pendant mon enfance à cause de la visite médicale scolaire, j'ai eu des désirs de fuites, des insomnies, de la dépression. Nous garçons avons été traités comme du bétail. Des conséquences de leurs agissements j'ai risqué à l'époque une nécrose du gland et risqué une mutilation sexuelle définitive et risqué ces derniers jours des accidents de circulation. Encore aujourd'hui, en Belgique en France et ailleurs, certains jeunes vont avoir des séquelles psychologique, parce que certains médecins du contrôle médical scolaire se comportent comme des vétérinaires et traitent un enfant devant eux comme un objet à leur merci, objet qui n'a rien a dire, rien à comprendre et qui est obligé de subir. Le terme choisi par ces jeunes aujourd'hui pour les attouchements sexuels imposés d'autorité c'est : je vais morfler, ça va encore être ma fête, on va encaisser, on va subir, on va déguster. Il existe réellement des médecins pédophiles qui ont une "forme de jouissance " lors de traitement brutal des organes génitaux chez les jeunes garçons et qui choisissent délibérément des endroits de travail ou leurs victimes sont plus vulnérable, exemple : écoles, lycées ou instituts pour handicapés. Un internaute dans un forum avait écrit : Après avoir dénoncé les prêtres pédophiles, il est temps de s'occuper de certains médecins scolaires délinquants sexuels. Plusieurs internautes ont dit également : la visite médicale scolaire à fait plus de dégâts que d'actions positives, elle devrait devenir facultative, ou supprimée. Récit : On essaye d'enterrer au plus profond de soi des traumatismes que l'on a vécu. La visite médicale scolaire se soucie de l'état physiologique des élèves en provoquant des dégâts psychologiques. Par accident en décembre 2012, lors d'une recherche de visite médicale d'assurance vie, je suis tombé par hasard sur un témoignage d'un jeune stéphane150 qui parle de la visite médicale scolaire à Montpellier (France). En prenant connaissance de son récit, je me rends compte que rien n'a changé. Alors, une gigantesque lame de fond sortie de l'année de mes 16 ans m'a complètement submergé dans une tristesse incommensurable, une détresse inouïe un sentiment d'abandon total dans la détresse. Immédiatement le réflexe de vomir sans arrêt, ne plus savoir respirer, une boule dans le ventre. Ne plus savoir dormir ni manger pendant 3 jours, ne plus penser qu'a cela... de la colère noire, de la tristesse, du dégoût, le vécu de la déshumanisation et de l'humiliation. Ma plus jeune fille m'a dit papa cela ne va vraiment pas pour toi qu'est ce qui t'arrive, et adulte, je me suis écroulé en larmes avec un récit précis et détaillé comme si c'était hier, mêlé de pleurs qui va durer une demi heure, et qui fera aussi pleurer ma fille. On était anxieux pour aller à la visite médicale a cause des attouchements sexuels imposés effectués d'autorité en justifiant « on fait ça aux garçons ». Un jour, on a parlé de phimosis, même petit je me suis dit que cela allait mal se passer pour moi, pas d'explications, pas de solution plusieurs nuits à pleurer dans mon lit. 2 années plus tard idem, l'humiliation l'acharnement et la douleur de la manipulation d'autorité du sexe. Je savais que dans la classe certains de mes compagnons ont été opérés du pénis et pleuraient de mal, de tristesse et de rage. A 16 ans, de nouveau humiliation, la douleur au bassin, à la colonne, aux abdominaux, puis le médecin qui passe son temps à s'acharner sur mon pénis, de la douleur qui n'en finit pas. Phimosis, pas d'explications, pas de solutions pas de dialogues, pas de dédramatisation. Combien de temps pourrais je vivre simplement en sérénité avant qu'on ne m'estropie le sexe sans raison ? Trois semaine plus tard, quand la lettre du contrôle médical est arrivée, anxiété, mon père qui ne savait pas comment gérer cette situation est entré dans ma chambre en disant : fiston tu as un problème tu dois retirer la peau de ton zizi en arrière sinon on devras t'opérer, cela s'appelle la circoncision et on peut vivre sans cette peau. Alors, la nuit vers 23h00 quand tout le monde s'était endormi je me suis débattu pendant une heure et demie pour faire passer la pointe du pénis à travers 9mm d'ouverture de prépuce. A 00h30, J'y suis parvenu et mon pénis s'est gorgé de sang, a gonflé et provoqué un paraphimosis, c'était la première fois que je voyais cette curieuse forme qu'était le gland j'avais de plus en plus mal, je pleurais me sentant dépourvu de solution. Derrière le gland c'était très très étranglé et le gland violet devenait de plus en plus sombre, si j'appelais mes parents, ils m'auraient conduit à l'hôpital, dans la honte, et on m'aurait charcuté un sexe en parfait état, qui fonctionnait bien, et dont j'étais content. Avec la douleur au sexe que j'avais, je n'étais plus en état de pouvoir fuir, on m'aurait rattrapé. Je savais aussi qu' avec un sexe abîmé ou nécrosé, c'était la fin du projet d'avoir une femme, la vie n'avait plus aucune raison d'être : plus la peine d'aller à l'école, plus la peine de grandir, plus la peine de respirer, de manger, avenir clôturé, et cet obsession des adultes sur "décalotter à tout prix tout de suite ", l'injustice de cette persécution non justifiée sur un sexe en parfait état, fonctionnel, qui n'a jamais connu d'infection durant ces 16 ans, cet acharnement, non justifié, non expliqué et ses conséquences, j'avais décidé d'en finir, et de mettre fin à mon existence dans les bois proche de la maison au lever du jour. Il fallait tenir, tenir, tenir, encore tenir, serrer les dents, essayer, réessayer encore et encore de replacer le prépuce au dessus du gland. Au bout de 40 minutes d'acharnements s'est passé un phénomène, on aurais dit que le sexe était complètement épuisé d'être gonflé à bloc, il a commencé à se dégonfler légèrement, à ce moment, je suis parvenu à remettre le prépuce en place, là ou on aurais du le laisser. Le jour suivant malgré la peur, j'ai recommencé, parce que la menace d'opération imminente était toujours active. Un quart d'heures d'effort et re paraphimosis, re catastrophe en cours. Je me suis dit que je n'aurais pas du le refaire, que cette fois j'étais foutu, mais cette fois j'ai pu remettre en place le prépuce après un quart d'heure d'efforts. Après cela a été de plus en plus facile et j'ai eu la chance de garder mes organes sexuels intacts. C'est tellement plus facile de mutiler le pénis des garçons plutôt que de donner des explications embarrassantes, alors que le garçon est en détresse. Je vous maudis, médecins scolaires pour nous avoir traité nous garçons comme du bétail, pour votre manque d'humanité. Je vous maudis, médecins scolaires pour les attouchements sexuels douloureux et dégradants que vous nous avez imposés de force. Je vous maudis, médecins scolaires pour l'humiliation que vous nous avez imposée. Je vous maudis, médecins scolaires pour toute les nuits ou, enfant, j'ai pleuré de votre faute. Je vous maudis, médecins scolaires pour avoir orienté les parents de mes compagnons de classe vers une mutilation sexuelle définitive de leur fils. Je vous maudis, médecins scolaires pour l'effet post traumatique, ces souvenirs que je viens de revivre. Nous avons besoin de notre prépuce pour pouvoir se masturber et connaître notre corps, nous en avons aussi besoin pour les caresses prodiguées par notre partenaire, nous en avons besoin aussi pour une pénétration douce et agréable lorsque notre femme n'est pas encore suffisamment lubrifiée... A l'école, On pourrait proposer à tous les élèves garçons et filles une brochure d'explication sur l'utilité du prépuce, le combat contre les mutilations sexuelles et la technique d'élargissement du prépuce. Qui sait peut être qu'une des filles devenue mère pourra sauver l'intégrité physique de ses fils.
Déontologie :
Le médecin n'explique rien à l'enfant et ne lui demande pas si il peut vérifier ses organes génitaux, la raison de cette vérification ou bien, éventuellement proposer à l'enfant de manipuler sa verge lui-même. Il impose d'autorité sans explications le retrait du slip et les manipulations sexuelles que le jeune va somatiser en agression ou persécution sexuelle non justifiée médicalement. Le jeune est réduit comme un objet dont on peut faire ce que l'on veut et ce, avec l'approbation complice de tous les adultes. Comme c'est un garçon, il n'osera pas se plaindre car se plaindre est un signe de faiblesse et est associé à une démarche féminine, cela les médecins scolaires le savent aussi !!) ! c'est pour cela qu'il n'y a aucune attention envers les garçons et que pour les filles les médecins scolaires sont par contre extrêmement prudents car s'ils faisaient subir le quart de ces attouchements sans l' autorisation de l'étudiante, ils seraient déjà devant les tribunaux correctionnels. On peut voir cela sur les forums canadiens qui dénoncent les atteintes sexuelles non signalées sur les hommes qui présentent par la suite des symptômes de stress posttraumatiques. Le médecin fait abstraction totale du fait que le corps de l'enfant appartient à l'enfant. La façon de faire : encore maltraitance et traitements dégradants, le médecin nous a fait chaque fois asseoir sur le bord de la table d'examen horizontale, jambes pendantes, puis il nous dit de nous coucher C'est intentionné qu'il n'y a pas de pause pieds de telle façon que le garçon et très inconfortablement couché, dans une position particulièrement pénible physiquement que l'on ne sait pas tenir longtemps. Du fait que les jambes pendent, le bassin et la colonne vertébrale sont tellement arqués que même avec le menton sur le sternum, il est impossible de regarder ce que le médecin fait à notre pénis. Cette position a été choisie délibérément par ces médecins pour que le garçon ne puisse pas se recroqueviller par réflexe de protection, ensuite il baisse rapidement le slip, nu, le pubis en avant, il commence alors à manipuler d'autorité les testicules, ensuite il reste encore l'acharnement sur le pénis. Cette position imposée sur cette table et cette table dont le dossier est mis volontairement à plat fait partie de la déshumanisation et de l'asservissement. On a un énorme sentiment de dégoût profond, de rage et de vengeance. Les tables de gynécologies sont beaucoup plus humaines, car le dossier incliné permet à la patiente de contrôler ce que le médecin fait et invite au dialogue. 2 ième témoignage (texte intégral) (Belgique) J'ai toujours crus que mon cas était unique. J'ai gardé de la colère contre les médecins scolaires. Pour moi je les ai perçu comme des médecins qui ne sont pas suffisamment bon pour pouvoir avoir de vrais clients et soigner. Un médecin scolaire est la représentation de la douleur physique sexuelle gratuite et de conseils douteux. Ils m'ont fait croire que leurs attouchements sexuels douloureux étaient obligatoire. Je regrette, j'aurais dû me défendre ou riposter. Dans notre jargon on se disait entre copain, on va encore morfler, déguster, cela vas encore être notre fête, mon dieu que ce soit vite fini. Il s'acharnait sur mon pénis sans mon accord. Heureusement que mon grand- père est intervenu en colère pour que mes parents ne me circoncise pas sur les mauvais conseils du médecin scolaire. Je me suis marié, mon phimosis s'est résorbé de lui-même avec les relations sexuelles (entre autre) et j'ai eu deux enfants. Également grave, pour moi, c'est que ces médecins scolaires m'ont fait croire via mes parents, que j'avais le sexe anormal. Cela a abîmé toute ma jeunesse, et conditionné mon existence : je n'ai pratiqué aucun sports ou on utilisait... des douches communes. Pas de rugby, pas de basket... le médecin scolaire m'a dit que je n'étais pas normal. Pour mes enfants, je n'ai jamais tenu compte des remarques que ces personnages donnaient, je leur ai octroyé aucune confiance et considéré comme des sous médecins incapables. Pour mon fils, je ne l'ai pas présenté à la visite médicale scolaire à ses 14 ans et ses 16 ans. Ces médecins ont des comportements de vétérinaires et ne peuvent rien faire que des dégâts. J'ai toujours eu l'impression qu'ils ont choisi ce métier délibérément afin d'exercer un processus de domination et de destruction sur des enfants sans défense. Les pédophiles s'arrangent aussi pour être légalement en contact avec des personnes faibles et sans défense. Le minimum est d'avoir le respect de l'humain enfant, adulte... de demander l'autorisation de manipuler le sexe des enfants, et, ils ne sont jamais jamais autorisé d'infliger des douleurs, ni de les faire durer ces douleurs, (sexuelles ni autres). Si on décortique le code de déontologie médicale que je viens de consulter aujourd'hui, ces médecins sont en totale infraction avec les conventions de l'ordre des médecins, et devraient être interdits d'exercer. J'ignorais la possibilité de poursuivre devant les tribunaux aussi tard, Si j'en avais eu connaissance, je n'aurais pas laissé ces actes sans suite. Il est indispensable de briser la loi du silence. Si je rencontre ces médecins, je leur ferai part de tout ce qu'ils ont abîmé de ma jeunesse, et de la fameuse réunion familiale ou mon grand-père a dû intervenir pour me protéger des mauvais conseils du médecin scolaire. C'est trop facile que les responsables de centres médicaux scolaires ne se sentent pas responsables des bavures, du mauvais comportement, de l'absence de formation psychologique ou de la déontologie médicale de leurs médecins scolaires. 3 ième témoignage (texte intégral) (France) Je vois que je ne suis pas le seul a avoir subit ces visites comme une violence. Il y a les visites imposées et les visites que l'on sollicite. Cela m'est arrivé à 16 ans d'aller voir le médecin de famille pour des petits problèmes d'irritation du gland, je savais bien en y allant que je devrai baisser mon slip et me faire toucher, et c'était ma décision de lui montrer mon sexe même si je n'ai jamais tellement aimé qu'on me tripote. Encore maintenant, père et grand père je n'aime pas faire voir mon sexe. Ce qu'il y avait de traumatisant dans les visites scolaires c'était le manque d'intimité, en primaire on passait à la queue leu leu et on voyait ce qu'on nous faisait et ce que l'on faisait aux autres. Le baissage du slip était violent, sans prévenir comme une punition. La plupart des médecins étaient des femmes et j'ai remarqué que les rares fois où c'était un homme, même si c'était toujours aussi impudique, les manipulations étaient plus douce. On avait l'impression que les médecins femmes se vengeaient des hommes sur les petits garçons en s'en prenant à leur pauvre zigounette. Les décalottages étaient fait sans ménagement et avant elles demandaient de tourner la tête sur le côté comme si elles avaient honte de ce qu'elles allaient faire. J'ai eu un phimosis et vers 10 ans, l'une de ces garces m'a décalotté d'un coup sec, ça n'a pas glissé complètement mais j'ai eu des micro déchirures du prépuce ça a saigné aussitôt mais elle s'en est foutu et a remonté mon slip comme si de rien était. Le soir j'avais une grosse tache de sang dans le slip et j'ai du en parler à mes parents. Le lendemain j'ai été conduit chez le médecin qui a piqué une colère terrible contre ces barbares. Le seul résultat positif c'est qu'enfin le médecin de famille a regardé mon sexe, ce qu'il n'avait jamais fait avant, et a décidé de traiter le phimosis. J'espère que tout cela a cessé. 4 ième témoignage (texte intégral) juin 2010 France Âgé de 42 ans, je suis père divorcé ayant la garde de mes deux enfants. Une fille de 17 ans et un fils de 13 ans. J'assure leur éducation, malgré des responsabilités professionnelles. Leur mère vit à l'étranger. Je demande conseil aux mamans de jeunes garçons. Mon fils Philippe nous a paru ces jours derniers, il y a environ un mois, à ma fille et à moi contrarié, nerveux. Malgré mes demandes, il n'a pas voulu m'exposer les raisons de sa contrariété. Il a fini par l'avouer à sa sœur. Celle ci assez gênée et après avoir hésité à m'en parler a fini par se confier à moi. Elle m'a rapporté les propos de son frère cadet. Philippe, voici un peu plus d'un mois, a été troublé par la visite médicale scolaire qui a eu lieu au lycée. Ce récit est assez délicat. Comme les élèves de sa classe et l'un après l'autre, mon fils a du se présenter devant le médecin, une jeune femme en présence de l'infirmière. La doctoresse lui a demandé de retirer son pantalon puis elle lui a baissé le slip. Elle a procédé à un examen de ses parties génitales. L'infirmière assistait à tout. La jeune femme médecin a tenu à décoller la peau du gland. Le décalottage de sa verge ne s'est pas fait sans difficultés. Elle a été obligée de bien saisir son sexe et tirer assez fort. Ceci lui a fait très mal. Cette femme énergique a même demandé à l'infirmière de tenir fermement Philippe pour lui permettre d'agir. En effet, il ne se laissait pas faire et se débattait. Après l'examen intime et douloureux, les deux jeunes femmes ont ri entre elles lui disant : "tu deviens un homme". Il n'a pas compris cette phrase. Puis, elles l'ont laissé partir se préparant probablement à faire subir le même sort au jeune garçon suivant. Thierry s'est senti humilié, violé dans son intimité. J'avoue que je ne lui ai rien expliqué, à ma fille non plus, au sujet de leur toilette intime. J'ai peut-être eu tord. Mais aborder ces sujets est délicat surtout pour un homme. Je ne sais comment lui expliquer. Ces jeunes femmes faisant partie du personnel médical sont habilitées à pratiquer ces visites intimes. Mais n'aurait-il pas mieux valu que le médecin soit un homme ? Je demande conseil aux mamans. Dans ces domaines comment abordez vous vos jeunes adolescents garçons. 5 ième témoignage Belgique Juin 2007 Témoignage d'une mère. Mon fils a été à la visite médical mardi, quand il revient je lui demande si tout s'est bien passé; il me répond que oui, je lui demande si le docteur a regardé son zizi et il me dit non. Ce soir là je lui dit d'aller faire pipi avant de dormir et au WC il commence à pleurer parce qu'il a mal et qu'il n'arrive pas à faire pipi. On regarde avec son papa et on voit qu'il est un peu blessé. On le soigne et on lui redemande si le docteur avait touché et il se fâche en nous disant NON Aujourd'hui je reçois le papier de sa visite et là je vois qu'on a noté en remarque " prépuce trop serré" Merde quoi ils n'ont pas à faire ça, il n'est pas décalotté. Apparemment ils ont essayé; Je voulais savoir si la visite médicale était obligatoire parce que là ils ont vraiment dépasser les limites Je viens d'avoir le directeur de l'école qui m'a dit que la visite médicale était obligatoire. Alors je lui ai expliqué le souci. Il est d'accord avec moi que le docteur n'avait pas à faire quoi que ce soit. J'ai essayé d'avoir le doc au tel mais elle n'est là que les mardis après midi, j'aimerais avoir une explication. Franchement je ne le vis pas bien du tout, certaines vont peut-être me dire que c'est une connerie mais voir son fils traumatisé n'est pas facile à accepter et puis c'est son intimité. On a du lui mettre de la pommade pendant 2 jours et maintenant ça va. 6 ième témoignage (Belgique septembre 2013) (ce n'est pas un témoignage intégral mais des informations reçues) C'est un témoignage trouvé en janvier 2014, il provient de contacts au Québec. (Pour des raisons de décalage horaire, le jeune appelait lorsque tout le monde dormait chez lui), pour des événements se passant en Belgique, en septembre 2013. Le garçon a été placé sur la table dans une position très dure. Le médecin lui écarte de force les jambes et se place entre celles-ci, ensuite vient l'enlèvement sans consentement du slip, palpation des testicules, puis a commencé la torture du pénis. A force d'acharnement il finit par décalotter dans la douleur le prépuce et commence des manipulations directe des doigts sur le gland d'un sexe d'une personne qui ne s'est pas encore masturbé, le jeune parle de "sensations très vives de choc électriques sur le gland " le jeune crie de douleur " et le médecin lui dit de se taire en enfonçant dans la bouche du jeune une baguette en bois baisse langue.
Ensuite il lui dit qu'il est anormal et qu'il devra se faire opérer du pénis.
Le jeune voit sa vie déjà terminée, il largue sa copine (le médecin lui a dit qu'il avait le sexe anormal), il annonce aussi au club de foot qu'il ne revient plus, il ne veut plus aller dans des douches ou la nudité est obligatoire. Il se sent violé, sali, sa vie est déjà compromise avant d'avoir commencé, il a des envies de suicides et appelle au secours sur le net en pleine nuit. Des bénévoles vont lui renseigner sur plusieurs semaines les méthodes douces pour résorber son phimosis ainsi que l'aider à surmonter psychologiquement les attouchements forcés ainsi que les actes de tortures infligés par le médecin scolaire. Le jeune à bout, refusera de communiquer le nom du médecin tortionnaire, ni l'endroit ou cela se passe. Une réaction de peur de représailles. Il ne communiquera pas non plus le numéro de téléphone du père car il dit que si son père apprend ce qui s'est passé, il tuera le médecin, ira en prison, et ce sera la destruction de sa famille. La lettre du centre médical aurait été interceptée par le jeune sur recommandation d'un psy canadien afin que le garçon puisse dégager le temps nécessaire à l'assouplissement de son prépuce par méthode d'auto kinésithérapie. Mais surtout, cette action retire l'émotion du danger imminent, car le jeune a à nouveau un contrôle sur les événements, ce qui limite le risque de suicide et donne la possibilité de sauvegarde de son intégrité physique. (Le risque de suicide était aggravé par le fait que les parents du jeune étaient occupés à divorcer.) Voici la position mise au point et utilisée par certains médecins scolaires Belges qui donne naissance à un vécu de torture et des traumatismes indélébiles chez les jeunes cela se passe en 2013 avec la description du jeune. Il faut tester cette position pour comprendre, essayez là Cette position donne des : Douleurs au bassin croqué en avant. Douleurs musculaires aux muscles abdominaux sous tension. Douleurs aux vertèbres lombaires Torture du pénis. Impossibilité de voir ce que le médecin fait ou va lui faire. Impossibilité de se dégager Impossibilité de se protéger Impossibilité de fuir Cette position a été testée via un forum par plusieurs jeunes volontaires Français pour me dire ce qu'ils pensent de cette position, la durée et ce qu'ils sont sensés subir. Voici les conclusions : C'est bien une position extrêmement pénible dès qu'elle dépasse quelque secondes. Pour eux, c'est bien de la maltraitance et une forme de torture. Un seul jeune a pu se contracter suffisamment pour arriver à voir son sexe dans cette position. Chapitre suivant : 11. Extrait de l'éthique médicale |