Chapitre précédent : 10. Témoignages 11. Extrait de l'éthique médicaleTORTURE ET TRAITEMENTS INHUMAINS Article23 Le médecin ne doit jamais assister, participer ou admettre des actes de torture ou autre forme de traitements cruels, inhumains ou dégradants quels que soient les arguments invoqués (faute commise, accusation, croyances) et ce dans toutes les situations ainsi qu'en cas de conflit civil ou armé. Article24 Le médecin ne doit jamais utiliser ses connaissances, sa compétence ou son habileté en vue de faciliter l'emploi de la torture ou de tout autre procédé cruel inhumain ou dégradant utilisé à quelque fin que ce soit. Des traumatismes de la visite médicale scolaire, on peut encore en trouver des quantités sur internet, c'est pour cette raison que les médecins scolaires sont peu ou pas considéré. Quand j'ai évoqué le mal vécu des visites médicales scolaires en 2012, sur un forum médical, certaines personnes (c'était à chaque fois des hommes) ont été scandalisées qu'ils n'auraient plus les pleins pouvoirs sur une personne de moins de 18 ans, je cite « demander leur autorisation pour toucher leurs sexe et quoi encore, où va-on ? ». De cela a été suivi une plainte au régulateur du forum (régulateur qui avait accepté de publier), et finalement effacement de tout les mails du forum de cette journée de décembre 2012. Il faut continuellement surveiller ses enfants : Le 24 mai 2013 (France) voici un témoignage (texte intégral) de manque de respect pour des mineurs d'âge : Bonjour tout le monde ! Je m'adresse en particulier aux filles, uniquement à elles. Je m'appelle Ocrissia, j'ai 14 ans. Alors voilà ça faisait depuis 7 jours que j'avais mal au ventre. Ma mère a alors voulu que j'aille à l'hôpital pour vérifier si c'était l'appendicite ou quoi car mon mal de ventre était de plus en plus douloureux. Les infirmières m'ont alors mis sous perfusion, j'ai subis des prises de sang pour des analyses etc. J'ai ensuite fait quelques radios au niveau du ventre, et le médecin a constaté de l'eau au dessus de l'utérus. Alors une infirmière est venu pour me dire que j'allais faire une nouvelle radio. Mais pas au ventre. Et c'est là que mon problème commence. Elle m'annonce que je dois passer une échographie endovaginale. Quand j'ai su ce que c'était j'étais pétrifié. À 14 ans, je ne me sentais pas subir ça, j'étais mal à l'aise, complètement tétanisé de savoir ce qu'il allait m'arriver. J'ai donc eu cette échographie. Le médecin était certes un professionnel, mais un homme, j'ai étais traumatisé. Et d'ailleurs je le resterais. Pour finalement me dire que le liquide n'était que mon urine ?! ? Et que finalement en cherchant mieux c'était juste une occlusion à mes intestins ?! ? Je ne suis plus la même actuellement. Je n'ai jamais été aussi mal à l'aise de ma vie. Ma mère pendant ce temps là était partie manger, ne se doutant de rien. Après être revenu à l'hôpital dans ma chambre, elle m'a trouvé morte de peur, paralysé dans mon lit. Je vous remercie d'avoir lu ceci. En espérant que vous puissiez m'aider à trouver un moyen pour oublier. Dans ma tête, j'ai ressentis ça comme un viol. Je tiens à vous rappelez que je n'ai que 14 ans. Merci de votre écoute. Ici le médecin (homme) à profité de l'absence de la mère qui était partie dîner à la cafétéria de l'hôpital pour imposer à la jeune fille seule et sans son consentement une sonde endovaginale, alors que cela aurait pu être un garçon, on pouvait utiliser un autre type de sonde... La mère a retrouvé sa fille prostrée en pleurs dans la chambre de l'hôpital. Les gynécologues dans ma région n'utilisent une sonde endovaginale uniquement sur des personnes qui ont minimum 2 ans de rapports sexuels réguliers, et avec leur consentement. Elle a eu le soutient de tout les internautes. J'ignore si dans ces conditions psychologiques, elle a pu réussir ses examens de fin d'année. Devant de telles réactions, je crois qu'il y a encore beaucoup à faire et que les parents doivent faire preuve de grande vigilance. Du personnel médical qui n'a aucun respect pour les enfants cela existe et ils officient aujourd'hui. Il ne faut pas oublier que certaines personnes choisissent sciemment de s'occuper de personnes sans défenses (enfants ou handicapés), et nous ne connaissons pas toujours leurs motivations profondes. Chapitre suivant : 12. Les dérives de mauvais traitements des enfants par la médecine scolaire |